Quo vadis...
Depuis quarante ans du soir au matin sans parler je marche
Trouvant partout le hasard et des adieux
Après quelques moments légers comme des végétaux égarés de lumière
D'une qualité blanche
Je me donne le ridicule
de chercher du travail
Avec des chaussures lourdes
je marche
Si bien que je tombe
en poussière
me trouveras-tu sous la grande Orse?
C'est là que je rencontre des âmes justes et belles en attente de mes trésors
car j'en ai moi aussi